à la découverte d'Erevan
Erevan est une ville du 20ème siècle, mélange de larges avenues monumentales structurées à la soviétique et d'anarchie urbaine. Ce qui frappe d'abord à la découverte de la ville, ce sont les contrastes multiples. On passe ainsi de la très monumentale place de la République aux quartiers très vétustes qui bordent la grande église de Saint-Grégoire l'illuminateur.
A ne pas manquer: la place de la République pour son homogénéité monumentale et l'allée des fontaines, le quartier de l'opéra avec ses parcs et cafés, la Mosquée Bleue, et juste à côté d'Erevan, la ville du grand Catholicos (le petit vatican arménien), Echmiatdzine, ou encore la citadelle d'Erebouni (8ème siècle avant JC, à découvrir à la fin du périple).
Un séjour de trois jours permet de faire le tour de ce qui est intéressant.
Il est possible d'y circuler par soi-même (le stationnement y est toujours facile), mais la solution la plus pratique est vraiment celle des taxis. Ils sont peu chers (2 euros la course en moyenne), et si vous entamez le dialogue avec le chauffeur, vous chanterez vite avec lui les plus belles chansons d'Aznavour, une icône nationale.
La place de la République, ancienne place Lénine.
L'allée des fontaines
L'église de Saint-Grégoire (inaugurée en septembre 2001,
en présence de Jean-Paul II).
la Mosquée Bleue
Le mémorial du génocide inauguré en 1967.
L'arbre planté par Gérard Collomb, le maire de Lyon.
Les photos du métro sont interdites, paranoïa post-soviétique ?
En voici donc quelques-unes :
Images d'Erevan
La gare
Ci-dessous, la "Cascade", un des rares espaces publics où les jardins
sont entretenus. Les friches semblent dominer partout ailleurs en ville,
l'entretien des espaces verts comme du bâti étant une notion inconnue ici.
Sens interdit...
Maison que l'on construit
quand on a réussi :
Vue générale d'Erevan depuis la citadelle d'Erebouni. Le rose domine,
dû à la couleur du tuf, principal matériau de construction en dur.
Le mont Ararat inaccessible puisque devenu turc (5165 m).